les réseaux sociaux se cachent pour mourir

Une association de diplômés peut rapidement ressembler au contenu d’un réfrigérateur abandonné depuis trois ans. Elle peut également vivre, s’organiser et prospérer comme une petite cité chaleureuse et dynamique : cela dépend (un peu) de nous et beaucoup de vous.

Dans ce village, il y a des lieux de rencontres pour ceux qui partagent des affinités, les Clubs.
Pourquoi adhérer à un Club alors que fleurissent les réseaux sociaux ? Parce que rien ne remplace la présence physique, les mots échangés, la poignée de main, la convivialité d’un lieu partagé. 
La commodité prodigieuse des réseaux sociaux présents sur Internet ne doit pas nous faire oublier qu’ils sont peuplés de vrais gens. Nombreux, très nombreux. A la fin de l’année 2010, FaceBook comptait 500 millions de membres ⁽¹⁾. Près de huit fois la population de la France… A la même date, 54,5 millions d’Internautes se retrouvaient sur MySpace ⁽²⁾. Mais FaceBook perd 375 000 de ses contributeurs chaque année et MySpace a vu disparaître neuf millions de contacts au cours des douze derniers mois !
Bref, pour les relations suivies, au long cours, rien – jusqu’à présent – ne vaut un club, une association (comme la nôtre). Ils sont beaucoup plus robustes, et quand ils fonctionnent, infiniment plus efficaces, parce que les vrais gens ont de vraies aspirations, de vrais enthousiasmes et de vraies personnalités. Pour vous en convaincre, rejoignez  l’un des huit Clubs de l’ISC Paris-Alumni qui n’attendent que vous. On y offre même parfois des buffets qui n’ont rien à voir avec le contenu d’un réfrigérateur abandonné…
  
⁽¹⁾ New York Times ⁽²⁾ comScore

Par Laura de Logivière, présidente de ISC Paris-Alumni.

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